BRUXOS, qui signifie sorcier en portugais fait référence à la croyance à laquelle Pongo était confrontée en grandissant en Angola, qui prête aux personnes envieuses, de jeter des sorts à ceux qui réussissent. Pongo a grandi avec cette petite musique qui lui est restée dans la tête de ne pas trop réussir dans ce qu'elle entreprend, de peur d'être rattrapée par les mauvais sorts de ces sorciers, jaloux de ne pas connaitre eux-mêmes le succès. Aujourd'hui, elle se libère de ces BRUXOS, et exhorte son auditoire de se défaire de toutes les contraintes, mêmes celles imposées par soi-même, qui entrainent le doute et entachent les réussites.

BRUXOS, ce nouvel hymne à la résilience à la sauce Pongo, fait écho à tout un chacun et ne laissera personne indifférent.

Autour de BRUXOS, il y a eu l’envie de croiser les danses chères à Pongo : Kuduro, Break, Malanje, dancehall , une fusion improbable de rythmiques chinées en Afrique du Sud et du centre, d’instruments réunionnais (Kayamb) , de groove caribéens. Les compositeurs Dj Tony438, jeune légende de la dancehall hexagonale, et Lazy Flow, issu de la culture indie club des ballrooms, membre de House of Ladurée, ont confectionné un hymne furieux où l’idée d’exutoire est omniprésente.

Réalisé par King Doudou (Pnl, BadGyal, JBalvin), la vision était d’incorporer des flows venus de différentes musiques électroniques globales (dancehall, BaileFunk, , tout en ayant une grande majorité d’éléments joués par des instrumentistes formidables en studio, de sorte à retrouver, au chœur de la chanson une sensation d’énergie de la performance live.